Bérenger Saunière and the Habsburgs

The Origin and Development of a Myth



Paul Smith

2 May 2012
Amended 7 March 2015


Many ‘researchers’ take for granted some ‘connection’ existed between Bérenger Saunière and the Habsburgs, unaware that this claim is devoid of all provenance.

Let’s review the conspiracy theory from the very beginning. There are nine points altogether to consider.

1) René Descadeillas, Notice sur Rennes-le-Château et l'abbé Saunière (Carcassonne, Archives Departementales de l'Aude, cote 2J 249, 1962; Updated 1968 [lost]; Private Pierre Jarnac Reprint, page 10, 1990s):

"Au moment de la déclaration de guerre, le 2 août 1914, l’aura du cure de Rennes était franchement mauvaise. Le docteur Espezel, de Couiza, proclaimat dans les rues de la petite cite et ailleurs, urbi et orbi, que Saunière était un agent de renseignements aux gages des Empires Centraux, en quelque sorte un espion de l’Allemagne! Il ajoutait, - ce qui nous parait aujourd’hui ridicule mais qui, à cette époque-là, paraissait plausible à beaucoup, car l’espionnite sévissait jusque dans nos régions, - que les terrasses construites à Rennes n’avaient été faites aussi larges que pour supporter des pièces d’artillerie! Les langues allaient leur train. Les gens se rappelaient en effet avoir vu venir à Rennes celui qu’ils appelaient l’étranger, et qu’on, dit avoir été un aristocrate austro-hongrois, sujet de François Joseph..." ("At the time of the declaration of war, on August 2nd 1914, the image of the curé of Rennes was frankly in pretty bad shape. Doctor Espezel, of Couiza, proclaimed in the streets of the little village and elsewhere, ‘urbi and orbi’, that Saunière was a secret agent in the pay of the Central Powers, in a sense a German spy! He added something that seems ridiculous to us today but which, at the time, appeared perfectly plausible, because espionage certainly extended as far as our own part of the world: the only reason the terraces constructed in Rennes had been made so wide was to enable them to support artillery-pieces! Tongues wagged. People even remembered that someone they called ‘the foreigner’, who, it was said, was an Austro-Hungarian aristocrat, a subject of Franz-Josef, had been seen visiting Rennes.")

* Originally, the claim related only to a ‘subject’ of Emperor Franz-Joseph Habsburg (reigned 1830-1916) visiting Bérenger Saunière.


2) Gérard de Sède, L'Or de Rennes (Paris: René Julliard, page 44, 1967):

"L’hôte le plus mystérieux est celui que les habitants du village en sont réduits à appeler «l’Etranger» : derrière son incognito se cache l’archiduc Jean de Habsbourg, cousin de l’empereur d’Autriche-Hongrie." ("The most mysterious guest was one that the villagers were reduced to calling ‘the Foreigner’: behind his incognito hid the Archduke Johannes von Habsburg, cousin of the Emperor of Austro-Hungary.")

* Here for the first time the claim is made that Archduke Johannes von Habsburg visited Saunière. Archduke Johannes von Habsburg called himself Jean Orth after renouncing his Titles in 1899. Born in 1852 and decreed dead in 1911.


3) René Descadeillas, Mythologie du Trésor de Rennes (Mémoires de la Société des Arts et Sciences de Carcassonne, 4ème série, tome VII, 2ème partie, juillet 1974, pages 40-41):

"A la déclaration de guerre, le 2 août 1914, l'aura de curé de Rennes était franchement mauvaise. Plusieurs personnes, à Couiza, à Espéraza, proclamaient `urbi et orbi' dans les rues et sur les places de ces petites cités que Saunière était un agent de renseignement aux gages des Empires Centraux ou, pour mieux dire, un espion de l'Allemagne. On ajoutait même (ce qui nous paraît aujourd'hui ridicule mais qui, à cette époque-là, paraissait plausible car `l'espionnite' sévissait partout et même dans nos régions) que les terrasses construites à Rennes n'avaient été faites aussi large que pour supporter des pièces d'artillerie ! Les langues allaient leur train. Les gens se rappelaient en effet avoir vu à plusieurs reprises à Rennes celui qu'ils appelaient `l'étranger' et qu'on dit avoir été un austro-hongrois, sujet de Francois-Joseph." ("At the time of the declaration of war, on August 2nd 1914, the image of the priest of Rennes was frankly in pretty bad shape. Several people, in Couiza and Espéraza, proclaimed, ‘urbi and orbi’, in the streets and squares of these little villages that Saunière was a secret agent in the pay of the Central Powers or, put more baldly, a German spy. They added something that seems ridiculous to us today but which, at the time, appeared perfectly plausible (because espionage was everywhere, even in our own areas): the only reason the terraces constructed in Rennes had been made so wide was to enable them to support artillery-pieces! Tongues wagged. People even remembered that they had seen on several occasions someone they called ‘the foreigner’, who, it was said, was an Austro-Hungarian aristocrat, a subject of Franz-Josef.")

* Dropping the reference to Doctor Espezel of Couiza, and taking no notice of the claim that Saunière was visited specifically by Archduke Johannes von Habsburg.


4) Otto von Habsburg, from private correspondence dated 25 February 1976, quoted in Jean Robin, Rennes-le-Château: La Colline Envoûtée (Éditions de la Maisnie, 1982, pages 141-142), after the author had asked if there had been a connection between the Imperial House of Austria and the Abbé Saunière:

“Je dois malheureusement vous dire, que ce que votre lettre contient, m'est malheureusement inconnu. Franchement, je n'ai jamais entendu parler ni dé l'abbé ni de Rennes-le-Château.” (“Unfortunately I have to tell you that I know nothing about what you refer to in your letter. Frankly, I have never heard either of the Abbé or of Rennes-le-Château.”)

* A straightforward rebuttal


5) Otto von Habsburg, from private correspondence dated 23 January 1983 reproduced in Pierre Jarnac, Les Archives De Rennes-Le-Château (Volume Two, page 516, Éditions Bélisane, 1988):

"As far as I know, there has never been a connection between my family and the Abbé Bérenger Saunière. Indeed, I never heard of him, nor of the whole affair of Rennes-le-Château before the book was published which you mention. I frankly do not believe that there is anything to it."

* A straightforward rebuttal.


6) Pierre Jarnac, Histoire du Trésor de Rennes-le-Château (Saleilles, 1985):

Page 354: "C’est vraisemblablement à cette époque, entre novembre 1889 et février 1890, qu'il [Jean Salvator] se rend à Rennes. On sait, en effet, qu'il y vint grâce à des procès-verbaux du Deuxième Bureau et des rapports de gendarmerie. Étonné de sa présence à Rennes-le-Château, les gendarmes de Couiza vinrent lui demander les motifs de son séjour." ("It is very likely that this is the period, between November 1889 and February 1890, when he [Jean Salvator] visited Rennes. He is known to have gone there from reports submitted by the French Secret Service and the gendarmerie. The gendarmes of Couiza were surprised to encounter him in Rennes-le-Château and asked him the reason for his visit.")

And,

Page 359:"Aussi étonnante que cette thèse puisse paraître, elle fut à l'origine du passage, à Carcassonne, en 1975, de Mgr l'archiduc Rodolphe de Habsbourg, sixième enfant du dernier empereur d'Autriche-Hongrie : Charles IV et de l'impératrice Zita et frère cadet d'Otto de Habsbourg." ("Monseigneur the Archduke Rudolph of Habsburg, sixth child of the last Austro-Hungarian Emperor Charles IV and the Empress Zita, and younger brother of Otto von Habsburg, visited Carcassonne in 1975.")

And,

Page 362:"Tout comme Jean Salvator avait placé son argent dans une banque de Buenos-Aires, Saunière avait placé le sien à celle de la Veuve Auriol et ses fils, à Perpignan." ("Just as Jean Salvator had put his money into a bank in Buenos-Aires, Saunière had put his into the bank of Veuve Auriol et ses fils in Perpignan").

* No evidence exists that Saunière received money from Jean Salvator and the origin for this claim remains unknown. The communications between Saunière and the Fritz Dörge Bank in Budapest, was to do with playing the Hungarian lottery


7) Gérard de Sède, Rennes-le-Château: le dossier, les impostures, les phantasmes, les hypothèses (Éditions Robert Laffont, page 250, 1988):

“En janvier 1975, l'archiduc Rodolphe, sixième enfant du dernier empereur d’Autriche-Hongrie, se rendit à Rennes-le-Château, puis de là à Carcassonne où il s'entretint de l'aventure de Bérenger Saunière avec deux connaisseurs, Mgr Boyer, vicaire général, et l'abbé Mazières, notre ami, qui nous l'a confirmé par écrit. L'échange de vue porta sur l'identité de l'archiduc d'Autriche qui avait fréquenté Saunière et Boudet. L'on s'accorda sur le fait qu'il s'agissait de l'archiduc Jean-Salvator, neveu de l'empereur François-Joseph.” (“In January 1975 Archduke Rudolf, sixth child of the last Emperor of Austro-Hungary, visited Rennes-le-Château. He then went from there to Carcassonne, where he discussed the story of Bérenger Saunière with two connoisseurs of the subject: Monsignor Boyer, the Vicar-General, and our friend Abbé Mazières, who has confirmed to us in writing that the meeting did take place. Their conversation focused on the possible identity of the Archduke of Austria who had visited Saunière and Boudet. They agreed that the person in question was Johann Salvator, nephew of the Emperor Franz-Josef.”)

* We only have Gérard de Sède’s word for it that Archduke Rudolph visited Rennes-le-Château and spoke with Monsignor Boyer and Abbé Mazières. The letter of confirmation by Abbé Mazierès (who died in 1988) has yet to be produced (Monsignor Boyer died in 1982).


8) Pierre Plantard de Saint-Clair, Le Mythe Merovingien (Vaincre – Reprend le titre d'un périodique paru en 1942-1943 N° 1, pages 1-3, Avril 1990):

"Je n'ai jamais prétendu être le descendant par les mâles de DAGOBERT II, ni prétendant au trône de FRANCE, pas plus que descendant de JESUS Tout cela n'est qu'un canular d'écrivain dont l'objet était et reste le profil financier par l'édition de livres ou de filmes." ("I have never claimed to be a descendant in the male line of DAGOBERT II, nor a pretender to the throne of FRANCE, anymore more than I have ever claimed to be a descendant of JESUS. All that is a writer's hoax, the aim of which was and remains the generation of financial profit from the publishing of books or the making of films.")

And,

"Voici un extrait de l'ouvrage de Jean Luc Chaumeil: ".....quelques auteurs ont écrit que Sigisbert s'échappa, qu'il fut longtemps caché en Allemagne et que c'est de lui que sont sortis les Comtes de HABSBOURG, qui ont donné naissance à la Maison d'Autriche." ("Here is an extract from the work of Jean-Luc Chaumeil: ‘...some authors have written that Sigisbert escaped and was able to hide for a long time in Germany, and that it is from him that the Counts of HABSBURG are descended, who gave birth to the Royal House of Austria’.")

And,

"Si quelqu'un peut se réclamer d'être le descendant de Sigebert IV en ligne directe, ce ne peut être que Otto de HABSBOURG, et lui seul. A toutes les personnes qui m'écrivent je fais cette même réponse, et que, si je suis bien descendant direct et légitime, de la lignée de Sigebert IV, lui même fils de Dagobert II, je ne me suis jamais déclaré: ‘descendant de Sigebert IV’ pas plus que... le prétendant à un trône. Dans ma préface, pour la réédition du livre ‘La Vraie Langue Celtique’ éditeur Belfond en 1978, je déclare page 17: ‘Mon grand-père Charles, légitime successeur des Comtes de Rhédae...’ car, c'est avec celui de Saint Clair, les deux titres que nous possédons." ("If anyone can claim to be a descendant of Sigisbert IV in the direct line it can only be Otto von HABSBURG, and he alone. To all those people who write to me I have given this same reply. I am indeed the direct and legitimate descendant of the line of Sigisbert IV, who was himself the son of Dagobert II, but I have never stated: ‘I am a descendant of Sigisbert IV’ no more than I have ever said that I am ‘pretender to the throne’. In my preface to the new edition of the book ‘La Vraie Langue Celtique’, published by Belfond in 1978, I state on page 17: ‘My grandfather Charles, the legitimate successor of the Comtes de Rhedae...’ as that is one of the two titles we possess (along with that of Saint-Clair").’

* Pierre Plantard was still claiming to be descended from the *line* of Sigisbert IV, but not directly – having royal blood but not a Pretender to the Throne. The direct descendant of Dagobert II in the Priory of Sion Literature of the 1990s was Otto Von Habsburg.


9) Private correspondence from L’Adjutant Jean-François LACROUX, commandant la brigade de Gendarmerie de Couiza (Aude) , dated 24 January 2001:

"J'ai le regret de vous informer que les indications données dans votre livre [Pierre Jarnac, Histoire du Trésor de Rennes-le-Château] sont totalement erronées. En effet, a Brigade de COUIZA ne détient aucun dossier relatif à cette affaire. Aucun dossier policier n'existe." ("I regret to inform you that the statements made in your book [Pierre Jarnac, Histoire du Trésor de Rennes-le-Château] are completely erroneous. The COUIZA police force does not hold any files relating to this matter. No police file on the subject exists.")

* Therefore, no solid evidence exists of a Habsburg connection with Bérenger Saunière






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